Les légalistes s’étaient tournés vers la HAT jeudi. Que la HAT respecte la démocratie, ce sont les opinions qui se heurtent non les personnes a déclaré Yves Aimé Rakotoarison, si la HAT ne peut pas supporter la démocratie, qu’elle se retire a – t – il poursuivi. Les légalistes ont demandé à la HAT d’arrêter « ses manières », cela risque de mettre en colère plusieurs. Les légalistes de réitérer que leur mouvement a été toujours été tenu d’une manière pacifique et qu’ils continueront dans cette voie. Les dirigeants légalistes qui ont été enquêtés ont tous été libérés, mais qu’en serait – t – il si c’était « l’autre partie » qui passait sous enquête ont lancé les légalistes. Combien s’en serait sorti ? Les légalistes sont revenus sur les convocations des leaders et des parlementaires légalistes par la gendarmerie. Les enquêtes ont au minimum duré deux heures pour chaque personne mais tous les légalistes ont passé les enquêtes sans doute.
La HAT a été largement critiquée par les légalistes jeudi face à ses changements de position. La HAT ne voulait pas tout d’abord entendre parler d’Amnistie lors des discussions avec le groupe de contact International et a par la suite voulu imposer une limite de période pour cette amnistie alors que les trois autres parties avec elle sur la table de rencontre s’étaient entendues, et maintenant voilà que la HAT déclare par Rajoelina qu’elle veut parler d’amnistie. Yves Aimé d’attribuer ce revirement à une pression que la HAT aurait reçu. Les discussions vont reprendre depuis le début à l’arrivée du nouveau médiateur selon les légalistes.
Par ailleurs, les légalistes ont jeté mot sur le mandat d’arrêt international que la HAT aurait lancé contre le Président Ravalomanana. Premièrement la HAT n’a pas la reconnaissance international et deuxièmement si le mandat existait, le Président n’aurait pas pu partir en Libye a déclaré Yves Aimé.
Discours du président Ravalomanana
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[image: vih 09 120430 Tafa mivantana nataon'ny PRM]
Il y a 12 ans
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