La venue d’une délégation d’employés de la commune d’Antananarivo a marqué la mobilisation de la légalité ce samedi. Ils réclament le retour de Guy Rivo Randrianarisoa, président de la délégation spéciale de Tana. Selon Jaona, un représentant de la CUA, aucun conflit ne s’était déclaré au niveau de la commune durant les 21 ans qu’il y travaille, cela s’est déclaré à l’arrivée de Michel Ratsivalaka. Jaona de déclarer que le comité de grève de la commune assurera la sécurité des employés de la commune qui veulent rejoindre la place de la démocratie.
Pour les 192 fokontany, selon leur président, Andry Rajoelina n’a jamais pensé à eux depuis le mois de décembre 2007 (mois de son élection). Durant 15 mois, les fokontany n’ont jamais perçu d’indemnité de la part de la commune, c’était le gouvernement qui avait pris en charge les comités de fokontany. Selon le président des 192 fokontany, même les secrétaires et trésoriers qui sont avec Rajoelina selon ce dernier, n’ont rien perçu depuis le début de l’année. Les fokontany sont terrorisés et vandalisés. Des menaces de remplacement circulent contre les employés de qui ne veulent pas vendre le riz et les huiles que la HAT met en vente. Les fokontany ne veulent pas être complices de vol selon le président des 192 fokontany.
Discours du président Ravalomanana
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[image: vih 09 120430 Tafa mivantana nataon'ny PRM]
Il y a 12 ans
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Erreur fondamentale et une tromperie sur la marchandise TGV. Les Tananariviens pensaient que l'élection d'un maire qui n'appartenait pas au parti du président réequilibrerait le pouvoir. Hélas A. Rajoelina n'a jamais aimé ni sa ville ni la population de Tana, d'ailleurs il n'a aucune competence en la matière, et pour lui ce n'est qu'un tremplin pour la fonction suprême. La gestion d'une ville comme Tana mérite un savoir faire. A l'heure actuelle prétendre diriger un état de sa part, alors là il faut s'attendre au pire....!
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