Pour Raveloson Constant, un des leaders du mouvement pour la légalité, ce qui s’est passé jeudi est ce qu’il a dit depuis quelques semaines. Ceux qui ont commis le coup d’Etat n’ont plus que la force comme moyen pour réprimer leur opposant. Ce qui a été commit à l’Episcopat Antanimena (le 17 mars) s’est répété avec les députés et les sénateurs, l’utilisation de la force pour résoudre leur « problème ». Pour le porte parole du Premier Ministre, ce n’était pas une arrestation de député et de sénateur mais un enlèvement de personnalité d’une institution de la république.
Revenant sur les évènements, il a déclaré que la population voulait seulement s’exprimée. En voulant éviter un affrontement en quittant Ambohijatovo, le peuple a été pourchassé jusque dans un hôpital où il était la cible de tir et d’arrestation.
Lui de déclarer que la communauté internationale devrait voir les blessés à l’hôpital.
Il a par ailleurs appelé l’armée à reprendre conscience.
Discours du président Ravalomanana
-
[image: vih 09 120430 Tafa mivantana nataon'ny PRM]
Il y a 12 ans
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire