samedi 28 février 2009

Manifestations, place du 13 mai (février 2009) en photo














TALKING NOTES FOR POST COUNCIL MEDIA BRIEFING BY HON. DR. NKOSAZANA DLAMINI-ZUMA MINISTER OF FOREIGN AFFAIRS OF THE REPUBLIC OF SOUTH AFRICA AND CHAIR

Madagascar
Following a brief by the Prime Minister of Madagascar to the SADC Ministerial Committee of the Organ (MCO) Troika in Addis Ababa, Ethiopia on February 02, 2009, the Chairperson of the SADC Organ on Politics, Defence and Security Cooperation, H.M. King Mswati III of Swaziland fielded an assessment mission to Madagascar. The first mission was undertaken by SADC Executive Secretary, Dr. Tomaz Augusto Salomão on February 06 – 08, 2009 where he held consultations with H. E. Mr. Marc Ravalomanana, the President of Madagascar, Prime Minister and other stakeholders.

The second assessment mission from February 14 – 21, 2009 was led by MCO Chairperson Hon. Lufto Dlamini, Minister of Foreign Affairs of the Kingdom of Swaziland. This mission held consultations with all stakeholders, namely, the Government, diplomatic missions, civil society and representatives of churches in Madagascar as well as the former Mayor of Antananarivo, Mr. Andry Rajoelina.

After this mission, the President and the Mayor held several meetings that temporarily calmed the situation in Madagascar. However, the breakdown in the negotiations a few days ago render the situation unpredictable and requires close monitoring by all stakeholders in the region and the international Community at large.

Council during this sitting deliberated on the security and political situation in Madagascar and resolved that:

(a) SADC supports the current dialogue process in Madagascar and
urges all parties to the negotiations to remain committed to the process until a peaceful solution has been found;

(b) SADC urges all parties to the dialogue to respect rule of law and
refrain from the use of violence in resolving their differences;

(c) SADC regrets the loss of lives, injuries and damage to property;

(d) SADC urges all parties to respect the democratic principles and values in Madagascar.

(e) SADC will not entertain illegal removal of the legitimate Government from power; and

(f) SADC will provide assistance to Madagascar in terms of training of the security forces and antiriot equipment.

source: Présidence de la République de Madagascar

Manifestation, place du 13 mai (28/02/2009)


Près de 2500 personnes se sont réunies sur la place du 13 mai ce jour lors de la manifestation organisée par le mouvement TGV. La circulation à Analakely a été coupée par les pro – TGV, des bennes à ordures ont été installées le long des accès de la voie. Andry RAJOELINA dans son discours a déclaré que les manifestations vont reprendre lundi et ne s’arrêteront que jusqu’à exécution des revendications des manifestants qui est la mise en place d’un régime de transition.

Infos Région - 28/02/2009

AMORON'I MANIA :
Des opposants avaient eu l’intention de faire une manifestation le jour d’aujourd’hui mais ont décidé de s’abstenir. Ils attendent de voir la suite de la manifestation sur la place du 13 Mai à Tana aujourd’hui

BOENY :
Un grand reboisement a été organisé dans la région

HAUTE MATSIATRA (27 février):
Un affrontement a eu lieu hier entre les mouvements d’opposition et les forces de l’ordre au cours d’une manifestation sur la place de la démocratie. Des manifestants ont lancé des pierres sur les militaires et ces derniers ont répliqué; bilan : 1 mort (c’était un gardien) et 10 blessés parmi les manifestants.

Le camp de M. Rajoelina appelle à une grève générale lundi

ANTANANARIVO (AFP) — Le camp de l'opposant malgache Andry Rajoelina a appelé samedi à une grève générale nationale à compter de lundi au terme d'une semaine marquée par le blocage des discussions de sortie de crise avec le président Marc Ravalomanana.

"Malgré les difficultés, nous sommes toujours prêts à nous relever. Lundi, ce sera la grève générale", a lancé à la tribune le maire destitué de la capitale devant environ 5.000 partisans réunis sur la place du 13-Mai, au coeur d'Antananarivo, a constaté un journaliste de l'AFP.

"A partir de lundi, on programme une grève générale. Il faut que tout le pays soit bloqué pendant quelques jours. Il faut faire des sacrifices, il faut que nous soyons entendus à travers le monde", a précisé à l'AFP Roland Ratsiraka, le neveu de l?ancien président, Didier Ratsiraka.

Aucune force de l'ordre n'était visible sur la place dont l'un des accès avait été coupé à la circulation par des bennes à ordures installées par les "pro-TGV", le surnom donné à M. Rajoelina par ses partisans.

La foule, moins nombreuse que lors de précédents rassemblements organisés au même endroit un samedi, s'est dispersée dans le calme.

Ce retour sur la place du 13-Mai vient consacrer l'échec d'un premier round de discussions directes entamées le 21 février entre M. Rajoelina, 34 ans, et le président Ravalomanana.

M. Rajoelina avait annoncé mercredi soir la rupture des discussions avec le chef de l'Etat, absent mercredi d'un quatrième rendez-vous prévu entre les deux adversaires depuis le début, mi-décembre, de la crise politique ouverte.

M. Ravalomanana avait justifié cette absence par "une sécurité compromise" en raison de la présence d'une délégation adverse plus nombreuse que convenu.

Cependant le sous-secrétaire général de l'ONU chargé des affaires politiques, Haïlé Menkerios, a affirmé vendredi à Antananarivo que M. Rajoelina avait "re-confirmé son engagement à poursuivre les négociations".

"Bien sûr, il a ses idées sur comment cela doit se faire. Ce n'est pas à nous de décider", avait ajouté M. Menkerios.

"Il faudrait d'abord un respect des préalables (aux négociations), pouvoir s'exprimer sur la RNM (Radio nationale publique), libérer les prisonniers politiques et arrêter les tirs sur la foule pacifique", avait précisé une source de l'entourage de "TGV".

Un conflit larvé entre MM. Ravalomanana et Rajoelina s'est transformé en crise ouverte mi-décembre, à la suite de la fermeture par les autorités de la télévision du maire.

Depuis, M. Rajoelina, qui a été destitué par le gouvernement de son poste de maire le 3 février, a multiplié les manifestations à Antananarivo et pris la tête d'une "Haute autorité de transition" censée, aux yeux de l'opposition, remplacer le pouvoir en place. Il s'est également autoproclamé en charge des affaires du pays.

Au total, une centaine de personnes sont mortes à Madagascar depuis le 26 janvier dans les violences qui ont émaillé ce conflit.

Vingt-huit d'entre elles ont été abattues le 7 février par la garde présidentielle qui avait tiré sans sommation, dissimulée dans un palais abritant le bureau du président dans la capitale, sur une foule de partisans de M. Rajoelina.

Le maire destitué s'est fait le porte-voix des frustrations de nombreux Malgaches durement touchés par la hausse des prix. Il a également porté sur la place publique leur ressentiment contre M. Ravalomanana décrit comme coupé de la population et affairiste.

AFP | http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5iX2yJBrGQX8PxIndGeNmf7xpTzLQ
 
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