La HAT semble se détacher de la conciliation initiée par la communauté internationale à travers le groupe International de Contact. Si les représentants du groupe international ont déclaré qu’une charte a été proposée à toutes les parties qui prennent part à la discussion et que les parties sont en train de réfléchir là-dessus, les représentants de la HAT sont venus avec une charte propre à eux mercredi. Une charte que la HAT compte imposée si l’on se réfère à la déclaration de Roland Ratsiraka, un de ses représentants. Selon ce dernier, la HAT rejette la charte proposée par le groupe international de Contact et propose la sienne qui a été signée par tous les membres de la HAT et qui serait accepté par tout le monde. Un « tout le monde » qui est encore en question actuellement parce qu’aux dernières nouvelles aucune des parties n’a encore eu connaissance du contenu de cette charte.
Par ailleurs, le membre de la HAT Alain Ramaroson s’en est pris aux représentants du GIC et a déclaré qu’ils ne veulent pas l’intervention de ces personnes dans les affaires malagasy. Il leur a « demandé » de retourner en Afrique pour régler les affaires Africaines.
Si la sortie de crise est encore en suspend, de son côté, la HAT s’avance de plus en plus vers la préparation des élections présidentielles. Les bases TGV, le parti de Andry Rajoelina, se constituent au niveau des régions
Discours du président Ravalomanana
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[image: vih 09 120430 Tafa mivantana nataon'ny PRM]
Il y a 12 ans