NON A LA VIOLENCE, NON AUX PILLAGES !Nous, membres du Collectif du COMITE QUI SOUTIENT LA LEGALITE ET LE RESPECT DES BIENS ET DES VIES HUMAINES, attirons l'attention de tous sur ce qui suit : QU'ILS LISENT ET QU'ILS MEDITENT car nous voulons éviter la guerre civile :
COMPARAISONS1. A défaut de gagner les élections, les membres de l'opposition se pourvoient toujours en Régime de transition. Et l'histoire est là pour le rappeler :
- KIM (Komity Iraisan'ny Mpitolona) en 1972 pour renverser TSIRANANA
- Haute Autorité de l'Etat en 1991 mit en place l'incompétent ZAFY.
Et qu'est ce qu'il en a résulté ??? Madagascar a régressé : son économie a périclité. Et l'arrivée de RATSIRAKA n'a pas arrangé la situation.
Dans toutes ces manifestations, le régime de la terreur fut instauré de force au détriment de la population et de notre pays. Par contre, les politicards se sont enrichis au détriment du peuple qu'ils prétendent défendre.
2. En 2009 : les membres de l'opposition vomis par les électeurs rééditent la violence et la terreur et se terrent derrière ce jeunot de Andry TGV. Ensemble, ils sont responsables de la situation de désastre actuellement. Et Roland RATSIRAKA et DEBA sont les commanditaires de toutes les violences.
3. En 2002 : RAVALOMANANA a gagné les élections et ses revendications appuyées et soutenues par le peuple sont légitimes et légales.
A l'époque, RATSIRAKA a divisé le pays en deux. Malgré cette situation qui prévalait, RAVALOMANANA n'a pas voulu recourir aux armes. Il a épuisé tous les moyens pacifiques pour éviter la guerre civile.
Et c'est pour réduire à néant les poches de bandes armées (Coutiti-Soaline) que les Zana-Dambo sont intervenus.
Nous invitons RAVALOMANANA, Président de la République, Chef des Armées et Garant de la Constitution à rester à la barre. Il doit utiliser la FORCE LEGALE pour anéantir LA FORCE REBELLE et ce, au nom de l'Intérêt Général.
La Communauté Internationale n'acceptera JAMAIS le coup d'Etat qui détruit l'économie et qui trompe le peuple. Il faut s'opposer dans l'union aux fauteurs de troubles pour qu'ils ne prennent pas le pouvoir.
COMPTE-TENU DE CE QUI PRECEDE, NON AU REGIME DE TRANSITION !Pour les membres collectifs du COMITE QUI SOUTIENT LA LEGALITE.